Waouw, le miel, ça pèse lourd !!!
Quiconque a eu l’occasion de porter une hausse pleine à ras-bord de ce nectar doré s’est soudain souvenu qu’il y avait un paquet de muscles dans son dos, ses reins, discrets au quotidien, mais
qui ne font pas semblant d’être utiles… Comptez entre 30 et 40 kilos la caisse ! D’aucuns ont abandonné cette noble activité du fait de lombaires fatiguées…
Alors, sur le net, on trouve des solutions astucieuses, ici ou là par exemple…
Avec les moyens du bord, voilà un portique, un palan et une « pince à ruche ».
La pince permet de soulever la hausse, ou l’ensemble de la ruche.
Très utile pour changer le plateau par exemple, sans se flinguer le dos ni trop déranger les zabeilles…
La hauteur du portique est utile pour soulever la hausse, suffisamment pour aller explorer le couvain quand c’est nécessaire avec la hausse au-dessus de la tête. On en profite pour jeter un œil dans la hausse, pour voir l’état du remplissage…
Pourquoi pas intercaler une hausse vide, si la récolte n’est pas possible et que la caisse est pleine : les avettes ont horreur de marcher sur le miel semble-t’il, alors ça marche moins bien si la nouvelle hausse est en haut.
Bien sûr, c’est un peu long à mettre en place, mais finalement c’est pas mal de temps gagné pour les manœuvres en série dans un rucher, les tests de nettoyage par exemple…
A suivre !